Il n’est pas toujours évident de savoir qui pourrait présenter un risque d’intoxication accidentelle aux opioïdes
Les articles et vidéos ci-dessous pourraient vous inspirer à incorporer de petits changements à votre pratique qui pourraient contribuer à changer la donne dans la lutte contre la crise des opioïdes qui sévit au Canada.
Indications et usage clinique: Le vaporisateur nasal NARCAN® est un antagoniste des opioïdes pur indiqué en urgence pour inverser une surdose d’opioïdes connue ou soupçonnée qui se manifeste par une dépression des voies respiratoires et/ou du système nerveux central.
Le vaporisateur nasal NARCAN® peut être administré par toute personne sur place (non-professionnel de la santé) avant l’arrivée de l’aide médicale d’urgence, mais il ne remplace pas les soins médicaux professionnels. Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant d’administrer la naloxone.
Les opioïdes d’ordonnance jouent-ils un rôle dans la crise?
Alors que les opioïdes d'ordonnance offrent des bienfaits, ils comportent aussi des risques2. En fait, en Ontario seulement, 53 % des patients hospitalisés pour une raison liée aux opioïdes avaient une ordonnance active d’opioïdes9. En tant que professionnels de la santé les plus facilement accessibles du Canada, vous pouvez aider à changer les choses19.
La crise des opioïdes pourrait s'être insinuée dans votre communauté
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La crise des opioïdes est un enjeu complexe; alors que les drogues illégales ont causé de nombreux méfaits liés aux opioïdes, les médicaments d'ordonnance y ont aussi contribué2. Même si les patients ont l'intention de prendre leur médicament d'ordonnance comme prescrit, une multitude de facteurs contribuent au risque de surdose8.
Tous vos patients qui prennent des opioïdes peuvent avoir une intoxication accidentelle aux opioïdes
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Il est difficile de découvrir tous les facteurs pouvant entraîner la dépression respiratoire induite par les opioïdes, c'est pourquoi quiconque prend des opioïdes est à risque d'intoxication accidentelle aux opioïdes1.
Vous avez le pouvoir d’aider les patients à se préparer à une intoxication accidentelle aux opioïdes. Pensez à la trousse de naloxone pour emporter comme un outil puissant dans votre boîte à outils, et expliquez aux patients qu’elle est analogue à tout autre dispositif ou technique d’urgence20.
Qui est exposé au risque de surdose accidentelle d’opioïdes? Ce n’est pas toujours évident.
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Habituellement, les directives de sélection des patients pour recevoir une trousse de naloxone à emporter recommandent d’utiliser les principaux facteurs de risque1-4. Mais l’information sur les facteurs de risque n’est pas toujours facile à obtenir. Les patients ne parlent pas toujours ouvertement de leur histoire, surtout dans le contexte de la stigmatisation associée à l’usage d’opioïdes5.
Tout le monde a des préjugés—y compris les patients et les pharmaciens21,22. En matière d’usage d’opioïdes, nous avons peut-être une idée préconçue du type de personne qui présente un risque d’intoxication aux opioïdes7,20,23. Cela se répercute sur nos conversations.22 Voici quelques façons de se libérer de nos préjugés et de s’attaquer à la stigmatisation.
Les préjugés sur les opioïdes ont-ils un effet sur votre pratique?
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En tant que pharmacien, vous avez été témoin de l’impact de la crise d’opioïde. En reconnaissant les préjugés sociaux liés à la consommation d’opioïdes, et en offrant une expérience positive à la pharmacie, vous faites une réelle différence1.
Il y a de nombreux types d’opioïdes. Mais le risque reste le risque.
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Les patients qui consomment le fentanyl ou des analogues du fentanyl présentent un risque accru, mais les patients qui consomment des médicaments contenant de la codéine, seule ou en association (p. ex. comprimés d’acétaminophène/codéine) présentent également un risque d’intoxication accidentelle aux opioïdes24,25.
La durée de la consommation d’opioïdes peut varier. Mais le risque reste le risque.
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Que les opioïdes soient prescrits pour traiter la douleur chronique ou aiguë, il y a toujours des risques associés à chaque plan de traitement3,26. Malgré les meilleurs efforts pour informer et renseigner les patients en matière de consommation d'opioïdes, les accidents continuent de survenir.
Parlons des opioïdes d’ordonnance : Lancer la conversation avec vos patients
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La communication est la clé! Gardez à l’esprit que certaines personnes sont influencées par les connotations négatives données par les médias aux opioïdes7. Rappelez à vos patients que quiconque prend des opioïdes présente un risque d’intoxication accidentelle aux opioïdes1.
Il y a quelques mots clés qui viennent à l’esprit lorsqu’on pense aux opioïdes : « surdose », « accident », « épidémie », « dépendance », « mort ». Lorsque vous parlez aux patients, votre rôle en tant que pharmacien est de trouver un équilibre entre les bienfaits et les risques des opioïdes sur ordonnance et d’essayer de faire en sorte que la conversation reste positive.
Liam souffre de douleurs chroniques au dos depuis qu’il s’est blessé au travail.
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Comment devez-vous vous y prendre pour discuter avec des patients qui peuvent être mal à l’aise de parler de naloxone en vente libre et qui peuvent avoir déjà pris des opioïdes sans avoir de la naloxone?
Béatrice est une patiente âgée qui présente des maladies chroniques multiples, y compris des douleurs arthritiques.
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Comment devez-vous vous y prendre pour discuter avec des patients âgés (et/ou avec leurs soignants) qui peuvent avoir des appréhensions à l’idée de se voir prescrire un opioïde?
Félix est un patient qui se rétablit d’un trouble lié à l’utilisation d’opioïdes et qui se rend tous les jours à la pharmacie pour y recevoir son traitement à la méthadone (15 mg).
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Comment devez-vous vous y prendre pour discuter avec des patients qui pourraient se sentir mal à l’aise et jugés de se voir offrir de la naloxone?
Voici quelques ressources qui pourraient vous être utiles.
Ressources pour les patients
Dépliant à l’intention du patient
Feuillet d’instructions NARCAN®
Mode d’emploi (version vidéo)
Mode d’emploi (pour les collectivités autochtones)
Outils pour simplifier le processus de distribution
Plan directeur des opérations en pharmacie du Québec
Lignes directrices nationales de consensus
Lignes directrices canadiennes de consensus national
Carte à usage confidentiel
Carte à usage confidentiel en pharmacie – Bénéficiaires du programme des SSNA
Carte à usage confidentiel en pharmacie – Québec
Offrez toujours une trousse de naloxone à emporter, sous forme de vaporisateur nasal, comme le vaporisateur nasal NARCAN®, ou d’injection à tous les patients qui reçoivent une ordonnance d’opioïdes1,3.
Information d’innocuité10
Indications et usage clinique : Le vaporisateur nasal NARCAN® est un antagoniste des opioïdes pur indiqué en urgence pour inverser une surdose d’opioïdes connue ou soupçonnée qui se manifeste par une dépression des voies respiratoires et/ou du système nerveux central.
Le vaporisateur nasal NARCAN® peut être administré par toute personne sur place (non-professionnel de la santé) avant l’arrivée de l’aide médicale d’urgence, mais il ne remplace pas les soins médicaux professionnels. Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant d’administrer la naloxone.
Contre-indications : Contre-indiqué en présence d’hypersensibilité au médicament ou à tout autre ingrédient de la préparation ou composant du contenant.
Mises en garde et précautions graves :
Appeler le 9-1-1 : Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant d’utiliser la naloxone.
Surveillance continue : Les personnes qui répondent de manière satisfaisante à la dose initiale de naloxone doivent faire l’objet d’une surveillance continue.
Réactions agressives : Les aidants qui administrent la naloxone doivent être prêts à intervenir ou à aider les patients qui manifestent des réactions indésirables possibles telles que des réactions agressives, des convulsions et des vomissements. Une attention particulière est justifiée lorsque la naloxone est administrée à un nouveau-né ou à une femme enceinte.
Autres mises en garde et précautions pertinentes :
Chez les personnes dépendantes des opioïdes, la naloxone peut précipiter un syndrome de sevrage aigu; cela peut mettre la vie en danger chez les nouveau-nés dépendants des opioïdes.
Travail prématuré ou détresse du fœtus chez les femmes enceintes dépendantes des opioïdes
Toxicité liée à l’effet rebond des opioïdes, y compris la dépression respiratoire, après l’inversion temporaire de la surdose d’opioïdes
Inefficace contre la dépression respiratoire induite par des médicaments non opioïdes
Risques cardiovasculaires, y compris de rares cas d’arrêt cardiaque, de tachycardie et de fibrillation ventriculaire
Considérations postopératoires, y compris hypotension, hypertension, tachycardie et fibrillation ventriculaires, dyspnée, œdème pulmonaire et rares cas d’arrêt cardiaque. La mort, le coma et l’encéphalopathie ont été rapportés comme des séquelles de ces événements
Convulsions ou crises d’épilepsie
Irritabilité et comportement agressif
Réactions gastro-intestinales comme la diarrhée, les nausées, les vomissements et les crampes abdominales
L’emploi de ce traitement chez les femmes qui allaitent n’a pas été établi
Exposition générale plus élevée chez les patients âgés
La monographie de produit est aussi disponible en appelant au 1-844-898-0657.
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Foire aux questions
Peut-on utiliser le vaporisateur nasal NARCAN® chez les femmes enceintes?
Le vaporisateur nasal NARCAN® ne peut être utilisé chez les femmes enceintes que lorsqu’il est nettement nécessaire10.
L’administration du vaporisateur nasal NARCAN® à une personne qui a une dépendance physique aux opioïdes peut induire un syndrome de sevrage des opioïdes aigu, qui cause une réaction telle qu’agressivité, tremblements et/ou vomissements. Vous devez porter une attention particulière à l’emploi du vaporisateur nasal NARCAN® chez une femme enceinte puisque certaines de ces réactions pourraient causer le travail prématuré et menacer la vie du fœtus. Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant même d’administrer le vaporisateur nasal NARCAN®10.
Veuillez consulter la monographie et les renseignements destinés au patient pour obtenir la liste complète des mises en garde et précautions :
Peut-on utiliser le vaporisateur nasal NARCAN® chez un enfant?
Oui, vous le pouvez, mais vous devez tenir compte de ceci :
Nouveau-nés : Vous pourriez devoir aider la personne qui a reçu le vaporisateur nasal NARCAN®. Elle pourrait avoir une réaction (p. ex. devenir agressive, trembler et/ou vomir). Vous devrez porter une attention particulière lors de l'administration du vaporisateur nasal NARCAN® à un nouveau-né de moins de quatre semaines ou à une femme enceinte. Certaines de ces réactions peuvent menacer la vie d’un nouveau-né ou d’un fœtus. Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant même d’administrer le vaporisateur nasal NARCAN®10.
Le pharmacien pourrait vous recommander d’utiliser une autre préparation de naloxone chez les nouveau-nés ou les enfants de moins de deux ans. C’est parce que les préparations injectables de naloxone permettent d’administrer des doses plus faibles10.
Enfants : Lors de l’administration du vaporisateur nasal NARCAN® aux jeunes enfants, la buse du dispositif pourrait être trop grosse pour s’insérer dans la narine. Dans ce cas, assurez l’étanchéité entre la buse du dispositif et la narine avant d’administrer le vaporisateur nasal NARCAN®10.
Veuillez consulter la monographie et les renseignements destinés au patient pour obtenir la liste complète des mises en garde et précautions :
Peut-on utiliser le vaporisateur nasal NARCAN® après sa date de péremption?
Le vaporisateur nasal NARCAN® doit être utilisé avant la date de péremption indiquée sur la boîte. Si seul un vaporisateur nasal NARCAN® périmé est accessible, il faut l'utiliser en situation de surdose10.
Quels sont les symptômes de sevrage qui surviennent à l’emploi du vaporisateur nasal NARCAN®? À quoi devez-vous vous préparer?
Le vaporisateur nasal NARCAN® doit être administré avec prudence aux patients pour lesquels une dépendance physique aux opioïdes est connue ou soupçonnée. Dans ces cas, le renversement soudain des effets des opioïdes pourrait déclencher un syndrome de sevrage des opioïdes aigu. La gravité de ce syndrome dépend de l’intensité de la dépendance physique, de la dose et de la puissance de l’opioïde à l’origine de la surdose, ainsi que de la dose de naloxone administrée10.
Les signes et symptômes de syndrome de sevrage des opioïdes aigu incluent sans s'y limiter : courbatures, douleur, fièvre, transpiration/hyperhidrose, écoulement nasal, éternuements, piloérection, bâillements, faiblesse, asthénie, grelottements, frissons, tremblements, convulsions/crises d’épilepsie, nervosité, agitation, irritabilité, comportement agressif, diarrhée, nausées, vomissements, crampes abdominales, hausse de la tension artérielle et tachycardie. Chez le nouveau-né dépendant, les signes incluent également pleurs excessifs et réflexes hyperactifs; le sevrage aigu pourrait menacer la vie s’il n’est pas reconnu et traité correctement10.
Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant même d’administrer la naloxone. Surveiller le patient pour tout signe et symptôme de sevrage des opioïdes. Les soignants qui administrent la naloxone à un patient doivent toujours s’attendre à des réactions possibles associées au syndrome de sevrage des opioïdes aigu et à devoir aider le patient afin de réduire les blessures au minimum durant ces réactions. Par exemple, un patient doit être placé en décubitus latéral pour éviter qu’il s’étouffe s’il vomit; les objets pointus et dangereux doivent être éloignés en cas de crise convulsive afin de protéger le patient des blessures, mais il ne faut pas immobiliser le patient10.
Comment obtenir un remboursement? Peut-on le remettre à une personne sans pièce d’identité?
Le vaporisateur nasal NARCAN® est accessible dans les pharmacies de l’Ontario dans le cadre du Programme ontarien de distribution de naloxone en pharmacie (PODNP) et au Québec dans le cadre du Programme de gratuité du médicament naloxone et de certaines fournitures adopté par le ministère de la Santé et des Services sociaux11,12.
Le vaporisateur nasal NARCAN® est couvert pour tous les Anciens Combattants Canada, les bénéficiaires du Programme des services de santé non assurés (SSNA) et les bénéficiaires de la First Nations Health Authority (FNHA) en Colombie-Britannique13-15.
Les patients peuvent demander un vaporisateur nasal NARCAN® sans présenter d’ordonnance ni de pièce d’identité pour les aider à protéger leur confidentialité16.
En Ontario, utilisez l’information ci-dessous pour les patients anonymes ou sans carte Santé de l’Ontario11 : Prénom et nom : RÉDUCTION DES MÉFAITS Sexe: vide DDN: 20000101 No d’id. intérimaire du patient: 89999 999 91
Au Québec, une carte d’assurance maladie n’est pas exigée pour le recevoir; il peut être remis de façon anonyme, surtout dans les cas urgents12,17.
Faut-il composer le 9-1-1 si on utilise le vaporisateur nasal NARCAN®?
Oui, le vaporisateur nasal NARCAN® peut être administré avant l’arrivée de l’aide médicale d’urgence, mais il ne remplace pas les soins médicaux professionnels. Il faut demander de l’aide médicale d’urgence (en composant le 9-1-1) dès qu’une surdose d’opioïdes est soupçonnée, avant même d’administrer le vaporisateur nasal NARCAN®10.
Il faut attendre combien de temps entre les doses?
Il pourrait être nécessaire d’administrer plusieurs doses du vaporisateur nasal NARCAN® avant l’arrivée de l’aide médicale d’urgence10.
Si le patient répond à la première dose du vaporisateur nasal NARCAN®, mais retombe en dépression respiratoire avant l’arrivée de l’aide d’urgence, administrer d’autres doses du vaporisateur nasal NARCAN® au besoin. Si le patient ne répond pas à la première dose du vaporisateur nasal NARCAN® après 2 ou 3 minutes, administrer d’autres doses au besoin, en prenant soin d’alterner les narines avec chaque dose supplémentaire10.
Comment commander les trousses de vaporisateur nasal NARCAN®?
On peut commander le vaporisateur nasal NARCAN® en communiquant avec Emergent BioSolutions Canada Inc. au 1 844 898-0657 ou par courriel à l’adresse customerservicecanada@ebsi.com.
Combien de trousses du vaporisateur nasal NARCAN® peut-on remettre à une personne?
En Ontario, jusqu’à deux trousses à la fois du vaporisateur nasal NARCAN® peuvent être remises à un patient11. Au Québec, jusqu’à quatre trousses du vaporisateur nasal NARCAN® peuvent être remises à la fois à un patient.18
Est-ce qu’une dose du vaporisateur nasal NARCAN® suffit pour renverser une surdose d'opioïdes?
Pas toujours, certains patients ont besoin de plusieurs doses. La nécessité de répéter les doses du vaporisateur nasal NARCAN® dépend de la quantité, du type et de la voie d’administration de l’opioïde qui est antagonisé10.
Si le patient ne répond pas 2-3 minutes après la première dose du vaporisateur nasal NARCAN®, administrer une autre dose de naloxone toutes les 2-3 minutes (si des doses supplémentaires sont disponibles), en utilisant un nouveau vaporisateur nasal NARCAN® pour chaque dose et en prenant soin d’alterner les narines avec chaque dose supplémentaire, jusqu’à l’obtention de la réponse recherchée10.
NARCAN® est une marque de commerce déposée d’Emergent Operations Ireland Limited, une filiale d’Emergent BioSolutions Inc. EMERGENT® et toutes les marques, ainsi que tous les produits, les noms des services et des produits, les logos et les slogans d’Emergent BioSolutions Inc. sont des marques de commerce ou des marques de commerce déposées d’Emergent BioSolutions Inc. ou de ses filiales aux États-Unis ou dans d’autres pays.
Voici Félix
Félix est un patient qui se rétablit d’un trouble lié à l’utilisation d’opioïdes et qui se rend tous les jours à la pharmacie pour y recevoir son traitement à la méthadone (15 mg).
Voici Félix
Âge: 28 ans
Problème de santé: Félix est en période de rétablissement à la suite d’un trouble lié à l’utilisation d’opioïdes.
Plan de traitement: Félix doit se rendre quotidiennement à sa pharmacie pour y recevoir son traitement à la méthadone (15 mg).
Autres renseignements: D’après son dossier pharmaceutique, il a oublié deux doses de méthadone cette semaine.
Références : 1. Alberta College of Pharmacists. Helping you navigate change: The communication issue. The Transition Times. October 2008. Available at: https://abpharmacy.ca/system/files/TransitionTimes_Oct08.pdf. Consulté le 2 septembre 2021. 2. Antoniou T, Pritlove C, Shearer D, et al. A qualitative study of a publicly funded pharmacy-dispensed naloxone program. International Journal of Drug Policy. 2021:103146. 3. Gouvernement of Canada. Surdosage d’opioïde. À https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/opioides/surdose.html.4. Mueller SR et al. Attitudes toward naloxone prescribing in clinical settings: a qualitative study of patients prescribed high dose opioïdes for chronic non-cancer pain. Gen Intern Med. 2016;32(3):277-283. 5. Tsuyuki R et al. Canadian national consensus guidelines for naloxone prescribing by pharmacists. Revue des pharmaciens du Canada. 2020;153(6):347-351.
PP-NAR4-CA-00087_05-2024 FR
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